Un vieil immeuble délabré.

Dantrag venait donc de pénétrer dans le hall de cet ancien immeuble.

**Heureusement que les militaires m'ont refilé des pompes, sinon j'aurais plein de verre dans les petons...**

Le guerrier regarda les alentours et se plaqua contre le mur à droite, il n'avait pas fait trop de bruit normalement, mais certaines bestioles avait une ouïe développée.
La nuit commencait à tomber, dans un immeuble sans lumière, l'obscurité était quasi totale.

**J'peux pas faire confiance à mes yeux pour le moment, ils ne sont pas habitué à l'obscurité.**

L'homme au chapeau rouge s'abaissa accroupis, son oeil valide était clos. Aux aguets le squatteur tentait de capter le moindre bruit ou la moindre odeur suspecte.

Rien ne vint déranger Dantrag... La Guerilla n'était pas aussi performante que les Militaires, cela se voyait...
Dantrag crut bien entendre des bruits dans la rue, mais il était impossible d'être sûr... En tout cas, c'était étrange...autant les autres quartiers étaient sur le pied de guerre, apparemment, autant cette partie-ci semblait déserte...
Au loin, par une fenêtre, il vit une lumière s'allumer. Cela venait de Bay Bridge, vers la mer...

Dantrag se leva et ouvirt son oeil valide. Il s'avanca vers la porte fu fond et entra dans le couloir.
N'étant pas encore trop fatigué, le guerrier prit le couloir de droite, et entra dans le premier bureau pour commencer à le fouiller.

**Pas envie de bouger de nuit, pas pour le moment, j'attendrais demain, en attendant, voyons voir si il n'y a pas quelques babiole ici...**

Le mercenaire prit garde à n'oublier aucun tiroir.

Parmi les trouvailles de Dantrag: un ordinateur datant d'avant l'explosion, autant dire inutilisable, un coupe-ongles rouillé, un squelette humain, une loupe avec le manche cassé...et un lot de cure-dents en plastique.
Rien de très probant, donc... Ce qui le paraissait plus, c'était que l'homme avait subit une mort particulièrement douloureuse et violente, à en juger par les nombreuses fractures, quelques doigts et autres extremités arrachés, etc..
Comme il s'agissait d'un squelette, il était très difficile de déterminer avec précision les causes du décés...

Dantrag regarda tout ce matériel un peu; enfin, totalement pourrie et s'attard plus longuement sur l'état du squelette.

**Alors, qu'est-ce que tu as à me dire, tas d'os à la con?**

La mort était vraisemblablemetn violente. L'Homme prit un des doigts du squelette et le fourra dans sa poche.

**Le pauvre, j'vais lâcher une larme si ça continue. J'vais même en garder un bout en souvenir.**

Alors, il se releva et quitta le bureau regardant à gauche (là où il y'a les autres bureau) puis à droite, vers l'escalier.

**J'ai encore du temps.**

Il avança le long du couloir, jettant un petit coup d'oeil aux quatre bureaux les plus proche, voir si il y'avait quelques choses d'interessant.

Le même genre de trucs dans tout les bureaux...de la brume dans la rue, par contre...et des bruits de pas, tout pès de la facade...

[Si tu te penche par une fenêtre, tu vois Doron]

Dantrag laissa tomber un livre au sol en reniflant de mépris.

**Que de la merde, ici...**

L'homme s'adossa contre un mur et se coupa les ongles avec l'un de ses couteaux en sifflotant.
Alors, son ouïe fine (j'ai envie de le dire, alors c'est tout, na) Capta un petit bruit en dehors.

**Un dégénéré? Putain, va falloir que je ferme la porte du hall.**

Le guerrier se leva, voyant une fenêtre au bureau, il se plaqua au mur et passa seulement son oeil valide. Il crut voir une silhouette, mais pas de dégénéré, apparemment, cheveux blancs, peau relativement pâle.

**Une créature intelligente... Voyons voir celà.**

Dantrag quitta le bureau, traversa le couloir en sens inverse, sans prendre garde à quoi que ce soit, ouvrit la porte du hall, le traversa en faisant crisser le verre sous ses chaussures avant d'arriver devant la porte d'entrée.

**Espérons qu'il ne soit pas trop armé et que, le cas échéant, il n'est pas la gachette facile...**

Main sur la poignée, il ouvrit...

Dantrag poussa la porte de l'immeuble et la garda ouvert pour laisser entrer Doron.

"Je vous remercie d'accepter une telle offre, un peu de compagnie n'a jamais fais de mal à personne, surtout dans une ville inconnue. De plus, votre arme pourrait être utile."

Le mercenaire attendit que Doron entre, souriant légérement, sa mèche de cheveux devant son oeil mort.

"Prenez garde, noble sire, le sol est recouvert de débris de verre, vous pourriez vous entailler la plante des pieds."

Dantrag réfléchit.

"Quelles porte souhaitez vous emprunter? (lis le texte de présentation pour me dire^^) Je n'ai pas encore fouillé ce comptoir d'ailleur, mais je peux vous dire qu'après la porte droit devant, il n'y a plus de verre, j'ai pris sur la gauche et il y'a une multitude de bureau."

L'homme regarda le sol de la pièce.

"Je ferais une sorte de petit pont avec les plaques qui sont tombées du plafond, comme ca vous ne vous couperez pas les pieds."

Alors, Dantrag haussa les épaules.

"Comme je vous l'ai dis, je suis nouveau en ville, j'ai rencontré quelques personnes qui ont peu me renseigner. D'après ce que j'ai compris, nous sommes dans Brooklin, un quartier aux mains de ce qui est appellé la guérilla Humaine, d'après un nom aussi évocateur, je suppose qu'ils s'attaquent à tout ce qui n'est pas humain, c'est de là que viens ma propositions de vous abriter ici, si ils vous découvrent je ne fais pas grand cas de votre espérance de vie. Au pire, si nous sommes découvert, je pourrais dire que vous êtes mon prisonnier..."

**Vu que mon but était d'entrer en contact avec eux, ca m'arrangerais bien... Mais faut pas que je perde ce mec là, nan, surtout pas.**

Doron inspecta les endoits et ca lui était égal de fouiller tel ou tel piece

"Allons ou bon vous semble je n'ai pas de choix a faire, ou n'avez vous pas fouiller? et d'ailleurs que voulez vous trouver? Vous faites quoi ici?"

Doron suivait le gars, mitrailleuse toujours en main meme si elle était abaissée et ne prsentait pas de danger...

Doron suivait a présent Dantrag...

***Il va pouvoir m'aider lui ou pas?***

Dantrag haussa les épaules.

"Attendez, ne bougez pas, je vais fouiller le comptoir, je reviens juste après pour faire un chemin de plaque jusqu'à la porte en face, afin que vous ne vous coupiez pas les pieds. Je ne me sens pas d'entrer dans cette porte de gauche, je prefer allé là où je connais, pour le moment."

Le mercenaire se dirigea vers le comptoirs, le verre crissant sous ses rangers.

"Je ne sais pas ce que je peux trouver... Mais, quand je l'aurais trouvé, je saurais ce que c'est et l'utilité que ça pourrait avoir."

Commençant à fouiller minutieusement le meuble, Dantrag continua de répondre à Doron.

"Ce que je fais ici? Je ne sais pas vraiment... L'on m'a déposé là, je prefere attendre le jour pour bouger de nouveau, donc, je suis entré ici pour passer la nuit, c'est ce que je vous proposais... Pour les raisons de tout à l'heure."

Juste avant que dantrag ne parte, Doron le suiva

"Moi aussi j'ai des chaussures, je ne peut craindre le verre; arretez avec vos compliments, nous sommes differend et nous sommes ensemble pour des raisons qui nous sont propres. Je ne pense pas que dans cette ville, les gens communiquent ensemble pour le plaisir. Pour le moment nos chemin vont dans la meme direction donc continuons"

Les deux gars continuerent leur fouille a la recherche d'objets interessants dans cet immeuble délabré, ou plus rien de vivant n'était présent a part l'humain et le dread

Dantrag regarda les pieds du Dread. Des chaussures, oui, mais en très mauvaise état, elle serait transperca par du verre sans difficulté.

**Après tout, qu'il fasse ce qu'il veut ce mec, j'en ai rien à foutre... C'pendant...**

"Je ne vois pas, noble sire, où vous voyez des compliments, j en efais que m'exprimer de façon compréhensible et repesctueuse, celà vous dérangerait-il, n'y êtes vous pas habitué?"

**Auquel cas ce serait toi le sauvage.**

"Nous sommes différents comme tout un chacun l'est, vous êtes différents de chacun des membres de votre espèce, tout comme je le suis de ceux de la mienne. Nous sommes ensemble pour la bonne est simple raisons que je l'ai désiré. J'aurais préféré vous éviter que vous ne m'auriez pas vu, seulemetn ca n'est pas le cas."

Dantrag fit une pause, décidémment, ce Dread était un peu trop sûr de lui.

"Je ne connais pas cette ville. Je ne sais pas si vous avez une famille, leur parlez vous juste de façon fonctionnelle? Ou alors, celà vous arrive t-il de parler avec eux pour... le plaisir?"

Le mercenaire sourit faiblement.

"Après, je suppose que vous parliez des relations entres races... Et je comprend tout à fait. D'après ce que j'ai compris, il y'a vous, Dread, et la Guérilla Humaine. Je comprend tout a fait qu'il y'ait des conflits, que les plus forts souhaitent éradiquer les plus faibles..."

**Bon, tentons le coup.**

Le guerrier s'arrêta de fouiller pour regarder Doron.

"Nos chemins vont dans la même directions, et ils pourraient se rejoindre si vous le souhaitez. Sachez que, dans ma ville natale, je suis considéré comme le plus grand mercenaire. Réfléchissez un peu aux avantages que je pourrais vous apporter..."

Il baissa de ton, s'approchant de l'oreille de Doron.

"Imaginez, un humain tel que moi pourrait aisément s'infiltrer dans les rangs d'une organisation humaine, et vous envoyer de nombreuses informations..."

Il se recula et reprit sa fouille, avant de s'approcher de nouveua de l'oreille de Doron.

"Réfléchissez-y... Le choix vous appartient. Comme simple paiment, pour le moment, je ne demanderais qu'une chose: Que vous m'ameniez au lieux où se regroupent les votres, que je puisse m'entretenir là bas avec votre chef, afin que je fasse connaissance avec les autres, pour qu'ils me reconnaissent et ne me tir pas dessus à vue...
Sachez que je suis connu pour être un inflitrateur, un espion, un saboteur et un assassin hors-pair."

Là, il s'éloigna et reprit sa fouille.

"Enfin, il serait plus prudent de parler de tout ca dans un endroit en sécurité... Comme... Un QG?"

Pour la fouille, vous trouvez des vieux crayons, un coupe-papier rouillé qui tombe en poussière quand vous le prenez en main, des bidules bizarres, bref, le genre d ematos qu'on trouve dans un bureau...
Mais, évidemment, rien d'utile...

Doron reprit son calme, il ne fallait pas brusque ce gars surtout pour la suite... mais il était trop curieux, que fallait il faire? raconter des mensonges ou rien lui dire...

"Je ne parle pas avec vous que parce que j'ai un interet, vous avez l'air sympathique mais excusez moi il est difficile de faire confiance a un inconnu"

Doron continua a regarder dans la piece en faisant attention a ses pieds...

"Vous comprendrez alors qu'avant de vous amener a mon QG..."
il avait bien dit "mon" mais sans que cela veuille dire qu'il était le chef des Dreads

"... il faut que j'ai entierement confiance en vous, et pour l'instant il est trop tot"

Il commenca a sortir de la piece

"Par contre, ici me semble un bon endroit ou si vous voulez, je loge dans une petite maison dans le Bronx, ce n'est pas tres spacieux ni accueillant mais ca peut faire l'affaire et depuis ce lieu, je pourrai m'arranger pour que vous parliez avec mon chef"

***En route, j'apprendrai peut etre quelque chose sur lui d'interessant***

Il reflechissa une nouvelle fois a ce qu'avait dit le mercenaire...

"Que vous a fait votre peuple pour que vous soyez pret a travailler pour moi?"

"Je comprend, la confiance est une chose bien rare de nos jours, à plus forte raisons dans un tel milieux..."

Regardant le comptoir, Dantrag soupira en laissant tomber ce qui restait du coupe papier.
Le mercenaire parut contrarié quand Doron dis qu'il était trop tôt pour qu'il lui fasse confiance. Mais, il se reprit vite.

"Pardonnez ma réaction, seulement, j'ai pour habitude d'offrir ma confiance à tout le monde, dés la première rencontre, sauf exceptions... Seulement, si l'ont trahi ma confiance, on ne la regagne jamais."

Un petit sourire apparut sur les lèvres de Dantrag.

"Je vois, vous êtes quand même disposé à discuter... Mais, juste une question. Je vous propose mes services, gratuitement, vous propose de vous offrir des informations sans compensation aucunes, je vous demande honnêtement, selon vous: Est-ce normal? Cependant, je suis d'accord pour chez vous, c'est une preuve supplémentaire de confiance, je vais sur votre territoire où je suis seul, sans moyen d'agir, alors que vous êtes entouré par les votres."

Dantrag se dirigea vers la porte, après tout, cet immeuble pourrait être fouillé plus tard... La nuit ne s'arrêterais pas de suite. Doron posa alors une question, et le mercenaire se mit à rire.

"Absolument rien. Pourquoi mon espèce aurait eut à me faire quelque chose pour que je souhaite travailler pour vous? Une couleur de peau ou la forme des yeux ne change rien pour moi.
Allons-y."

Dantrag ouvrit la porte du hall et sortit.

[Suite=>Une rue dans Brooklin]

Puisque personne ne l'avait vu, Doron entra dans l'immeuble tres doucement.
Lorsqu'il entendit les rangers des hommes qui arrivaient, il se glissa a une fenetre, il voulait estimer la force des gars qui faisaient si peur a Dantrag, il se mit au coin de la fenetre, presque invisible et sortit son 9 mm au cas où
Il se concentra, les battements de son coeur se firent de plus en plus rares

***Pourvu que ca marche...***

Il attendait d'avoir en visu le groupe d'hommes qui venaient vers lui...

Les mecs avaient des machettes, des calibres 9 mm à la ceinture, certains (3 ) avaient des fusils, sur un groupe de 7.

Ils avançaient maintenant dans la rue de l'immeuble. Une fois devant celui-ci, le chef ordonna à deux hommes, dont un avec un fusil, d'entrer dans le bâtiment...
Visiblement, ils ne se méfiaient pas particulièrement de quelque chose. Mais inspectaient les bâtiments...

***merde, putin, les cons !***

Doron regarda tout autour de lui, il lui fallait trouver une cachette, il voulait un meuble assez grand pour rentrer dedans ou autre chose lui permettant de se cacher...

***Serait il pret a tirer a vue ...?***

Le dread commenca a paniquer mais il ne fallait pas devenir fou, apres tout il avait de quoi se defendre meme contre des fusils... Il chargea alors son 9mm, pret a faire feu en cas d'agression...
Doron essaya alors de se cacher la ou il pouvait [ s'il trouve... ] sinon, il essayerai de se mettre juste derriere la porte pour leur assener un coup de dague par revers

Doron put se cacher... Les humains entrèrent dans l'immeuble, puis dans la pièce où le Dread était dissimulé... Ils en ressortirent bien vite, et on entendit les pas décroître dans la rue.
Puis une voix:

(Humain 1): Merde, j'ai laissé tomber un chargeur à l'intérieur...je vais le chercher, m'attendez pas...

Et, quelques minutes plus tard, l'humain entre de nouveau dans la pièce... Il n'a qu'un 9mm et une machette. Il s'apprête à repartir, puis décide que non...
Il s'assoit par terre, près d'une fenêtre, commence à fumer, arme à la main...

Doron ne bougea pas, le gars était a quelques metres de lui... il regarda tout autour de lui s'il avait moyen de faire diversion avec un objet qu'il allait pouvoir lancé dans un sens contraire au sien; avec un peu de chance il n'allait pas avoir besoin de tuer le gars.

***ma main gauche avait justement besoin d'un flingue***

C'est a ce moment précis, lorsque le gars était concentré a demolir ses poumons, que le dread lancea un morceau de ferraille sur la droite du gars...

[ si il n'y a pas de morceau de ferrailles, j'editerai...]

Réaction immédiate, le mec pivota, flingue en main, vers l'origine du bruit. Le bout de fer étant en pleine lumière, il compris qu'il n'était pas seul, et recula dans un angle, pointant son arme dans toutes les directions...

[il fait assez noir dans la piece alors]

Doron ne bougea toujours pas,

***allez approche mon mignion***

Ses paupieres verticales se fermerent pour laisser entrer le maximum de luminosité et il fixait le gars,pret a lui sauter dessus

Il posa sa mains sur sa dague en prenant soin que le métal n'apparaissent pas a la lumiere. le gars était devant lui mais le Dread ne bouggeait pas d'un centimetre

Le gars, pas fou, restait dans son coin, pointant son arme sur les possibles cachettes...

-Allez...viens...je sais que tu es là...

Il avait repris son calme...

Il fallait trouver le moyen de faire diversion, le gars était maintenant pret a faire feu tout sachant que quelqu'un était présent dans la piece avec lui.
Doron eut l'idée de tromper l'ennemi, il ramassa encore un objet qu'il garda dans sa main gauche et de sa main droite, il prit un autre petit objet.

***pourvu que ca marche sinon...***

Il lacha l'objet qu'il avait dans sa main gauche a ses pieds puis, tout de suite apres, il lanca l'objet qu'il avait dans sa main droite a l'opposé de lui.
Le gars serait alors peut etre déboussolé...

Ainsi, si le gars tourne le dos a Doron, le dread sort de sa cachette et lui assene un coup de dague sur la nuque; sinon, il ne bouge pas et attend de voir lareaction du gars